Informations HRP[]
Carta Mensis est un personnage RP sur le serveur Aerafal, joué par CaptainHamatis.
Description physique[]
Bien qu'huppermage, il n'est pas difficile de voir que ses parents n'ont pas suivis cette voie. Le plus bel exemple étant les oreilles de Carta Mensis qui rappellent vaguement celles d'une chèvre bleutée quoique plus pointues, ainsi que de légères cornes courbées vers l'avant, rappelant bien évidemment celles des chefs de guerre bouftou et évoquant un âge plutôt adulte, bien que cachés par une tignasse brune, claire et épaisse. Hormis cela, le visage de l'huppermage est sans âge, un regard bleu électrique permettant de bien se sentir viser si jamais celui-ci se pose sur vous et est bien entendu caractéristique de sa classe.
Affichant un physique fin, voire maigre, et élancé de 1m79 pour 60kg, on ne peut pas vraiment parler d'un être balourd et son habitude à flotter plutôt qu'à marcher rajoute de la légèreté à tout cela. Avec des vêtements d'habitude ample, un corps assez sec, mais pas fragile pour autant si l'on en croit le nombre de balafres sur sa peau ou autres traces de brûlures, ainsi qu'une queue dorsale davantage musclée rappelant son héritage génétique trahissant sa peau claire.
Ainsi, Carta Mensis se présente avant tout comme un bâtard d'Osamodas (la "race" et non le dieu).
Le point le plus remarquable chez lui est probablement l'usage de technomagie, ayant profiter des connaissances et de l'histoire des Eliotropes et des Steamers, qui en a affecté son physique. Comme beaucoup de personnes ayant perdus un membre, celui-ci a rectifié le tir en maintenant un bras blessé et en faisant stasifier l'énergie présente pour ensuite la stabiliser par le biais de la technologie. Vous l'aurez compris, pour ce qui s'agit des Eliotropes, Carta Mensis s'est avant tout inspiré de la race antique des Méchasmes dont il cherche les traces.
Description mentale[]
Curieux et insouciant, l'huppermage se présente comme beaucoup comme un aventurier souhaitant profiter du temps qu'il possède maintenant qu'il a réussi à échapper aux murs de l'Université Bontarienne Immatérielle. Vivant au jour le jour en apparence, il est adepte des nuits à la belle étoile et son seul refuge semble être un imposant havre-sac. Imposant non pas par sa taille mais par ce qu'il laisse supposer : Carta Mensis est un peu l'Avarice. Il collectionne, jette, et recollectionne et que cela soit des objets ou alors des connaissances, laissant un havre-sac en grand désordre avec des objets allant de bouquins poussiéreux aux peluches, en passant par des plans de travail pour pouvoir vivre en quasi-autarcie. Vivant le jour le jour en apparence, il semble être touche à tout.
Niveau orgueil maintenant, l'homme ne s'affiche pas comme un méchant ou un gentil, bien qu'il reste un bon citoyen. Il est conscient de ne pas être l'huppermage le plus puissant, mais c'est surtout son métissage qui semble l'handicaper mentalement, se voyant souvent comme un être "en dehors de tout", ou une erreur lors des jours plus sombres. Ce qui ne l'empêche pas de faire des blagues pour compenser, s'affichant comme un maître des runes ou un dieu vivant lorsque la situation s'y prête. L'un de ses "échecs" est son bras droit, étant davantage de la technologie copiée (ou volée) à la nation de Sufokia, ce dernier fonctionnant à la Stasis impure et étant assez "défectueux".
Un autre point pour l’orgueil blessé de Carta Mensis est son nom car en effet, il ne s'agit là que d'un pseudonyme qui ne s'éloigne pas trop de son véritable prénom. Né pendant ce mois, Aperivel (déformation d'Aperirel) est son véritable prénom qu'il a rejeté comme beaucoup de choses en intégrant l'école de l'île de Rok.
Excellente transition pour ce qui est peut-être les deux phases d'une même pièce chez lui, la Paresse et la Colère. Plutôt lent, flegmatique, à moitié endormi sur ses livres et ses études, ou essayant de profiter d'une branche d'un grand arbre réchauffée par le soleil, l'homme apprécie la sieste alors que d'un autre côté, il est quelqu'un de rancunier et qui passe du tofu au taure une fois une barrière difficilement identifiable franchie. A noter que s'il prend des coups au début sans trop chercher à se défendre, il n'hésitera pas à faire pleuvoir le feu, le vent et plus encore la Lumière une fois ce cap franchi. Ainsi, dans ses derniers retranchements, nous découvrons son second parent, une mère dont le sang Sacrieur enclenche une folie berseker et rend Carta Mensis (et surtout ceux l'affrontant) plus vulnérable.
En bon huppermage, il semble important de préciser une notion importante : celle de balance. Si le Wakfu est une chose que beaucoup de gens adorent et au contraire, la Stasis, quelque chose que beaucoup craignent, Carta Mensis semble chercher dans les deux, en témoigne son bras qu'on pourrait qualifier de factice. Si son père adorait la faune, l'huppermage apprécie davantage la flore et si sa mère étant une furie, il est quasi certain que cet être traine la patte en grande partie pour se différencier d'elle. S'il se dit en dehors de tout et le prouve assez souvent, niveau foi, il semble partager la curiosité malsaine de Sufokia tout en restant fidèle aux valeurs de sa nation d'origine.
Histoire[]
Septima, la mère[]
Comment est-ce que un Osamodas et une Sacrieur ont-ils pu se rencontrer? La source de tous ces malheurs? D'un côté, une brakmarienne partie à l'aventure, s'étant naturalisée dans la nation discrète de Sufokia afin de pouvoir vivre son rêve de boufbawl et de l'autre, une bête de foire, de la Foire du Trool.
A la recherche de plus de gloire, de plus de richesse, celle nommée Septima Porten, la mère de Carta, vous l'aurez compris, avait amassé des kamas et des muscles sur les terrains et pour compenser son manque de violence, connue pour payer des temps de triche autant pour une équipe que pour l'autre afin de violenter les autres et se faire elle-même violentée, la Sacrieur se lançait dans ce que l'on nommait combat de gladiateur à la Foire du Trool.
Amassant encore plus de richesses sur le sable des arènes, Septima finissait par se balader fièrement avec la Beltrool, preuve qu'elle était une chasseuse de trool sans être pour autant gênée par la différence de taille entre elle et l'équipement. Son ultime récompense, à la recherche d'un mari potentiel dans les divers défis et ne trouvant rien à sa mesure, elle trouva son maître en l'une des "créatures", Trahens, un "monstre" de la Foire. Une cauchemar pouvant lui rendre au minimum la violence qu'elle lui prodiguait pour finalement devenir un gros toutou tout doux, fuyant cependant la femme violente pour être pris en chasse par cette dernière, tel un monstre, encore une fois.
Trahens, le père[]
Malgré sa vie en cage, ou plutôt grâce à celle-ci, le père de Carta était particulièrement près de son dieu sur certains points, dont celui de ne pas réellement apprécier la compagnie des gens. Ivre de liberté, n'acceptant que très difficilement une quelconque forme d'autorité, l'homme décidait de parcourir le monde pour rattraper le temps perdu en "prison", tout comme son fils rattrapant le temps perdu après de longues études et bien des bobos.
Mais que devint Trahens le monde après avoir échappé aux chaines de la Foire et du mariage? Marginal et bienheureux, sans nation et n'appréciant encore moins les gens prônant le patriotisme -mis à part son fils dans un premier temps, bien entendu, pas de drame familial ici-, l'Osamodas trouvait tout de même une occupation lui permettant de se défouler, mauvaises habitudes du passé obligent. Quelle occupation? La violence gratuite et l'alcool, lui permettant de se faire respecter parmi "sa" nation par une haleine fétide et une bonne habitude d'écorcher ses ennemis vivant lorsqu'on lui demandait de ramener certaines personnes en vie. Chasseur de primes? Non! Ça, c'était l'activité maternelle, Trahens, lui, préférait l'option Riktus ! (Comme ça, peu importe la nation de sa femme ou de son fils, cette fois, les drames familiaux vont être durs à éviter...)
En bon croyant, et supportant de moins en moins son apparence physique, source de bien des soucis, le père connut une évolution quelque peu pareille et quelque peu différente que son fils, profitant du temple d'Oktapodas pour vivre sa religion "autrement" en se mécanisant peu à peu jusqu'à devenir non pas une montagne de chair et de barbe, mais une montagne d'aciers et de vapeurs. Ainsi, administrativement, Trahens serait un Steamer d'aujourd'hui!
Mais comme il n'existe plus administrativement depuis à peu près... Sa naissance? Il reste considéré comme un Osamodas, bien que dans les faits, il soit resté comme on le considérait depuis toujours : une monstruosité.
Mila Witchel, dit "Moor Hamanov"[]
Qui était qui? Tout comme Aperivel, la demoiselle avait menti sur son nom pour intégrer l'UBI et était en réalité une sorte d'alter ego Xelor de notre bâtard. En tant qu'anti-Carta employée par Brâkmar pour voler les savoirs des huppermages, cette élève était reconnue par son rival pour ne pas perdre trop de temps, ne perdant pas de temps avec ses ennemis car comme elle le disait elle-même lorsqu'elle fut révélée, elle n'était pas un assassin.
Même au niveau des combats que se livrer les deux options, il y avait cet effet miroir : Carta Mensis était plus lent mais plus endurant, faisant de leur combat des culs de sac où aucun des deux ne parvenait à prendre le dessus sur l'autre. L'ironie était qu'aucun des deux ne savait que l'autre travaillait pour des institutions politiques, voyant juste chez l'opposant un curieux, un obstacle dû au hasard et ainsi, si Carta est parti à Bonta parcourir les routes, Witchel était rentrée chez elle pour, tout comme son rival, devenir une ambassadrice, les deux se lançant des piques et se bagarrant lorsque les réunions les mettaient dans les mêmes affaires.
Tout deux ont été soumis à l'Artefact d'Aloth, ou plus précisément, dans la dimension de poche d'un être que l'on suspectait d'être un professeur des premières écoles d'huppermagie, épisode leur ayant permis de mesurer leurs forces et où une romance était parfois suspectée, sachant que vue leur rang présent, ils ont tous les deux eut recours à leur pouvoir d'origine -Sacrieur pour Carta et Xélor pour Mila- et que malgré tout, aucun n'est parvenu à tuer l'autre.
L'espion de Sufokia[]
Comme dit plus haut, notre cher huppermage était originaire de la nation de Sufokia de par sa mère naturalisée là-bas et de par son lieu de naissance, sans oublier ses premières années passées par là-bas. Mais qu'est-ce que faisait Carta Mensis avant d'intégrer l’École de l'ile de Rok? Voici une tentative de réponse.
Avant d'être un étudiant studieux et surtout, mentant sur son nom pour intégrer l'institution, l'homme était un militaire de sa nation et non pas un garde, plutôt ce que l'on pourrait nommer un "espion" ou quelqu'un cherchant à intégrer les missions un peu périlleuses pour prouver sa valeur et surtout, être reconnu, non pas comme "fils de trool" ou autres monstres de zoo mais bel et bien comme citoyen. Dans l'armée de Sufokia, le jeune homme gagnait parfois des galons à titre post-mortem avant de réapparaitre en piteux état bien qu'il ne perdait à l'époque aucun morceau en mission, car comme le voulait le commandement de l'Ange de la Compassion :
"Tu n’hésiteras pas à prendre pour ton grade si tu veux prendre du galon."
Défenseur, tel était son rang, et pas encore chevalier, Aperivel décidait d'aller chercher quelques informations au sein des institutions magiques pour le compte de sa nation et ne tardait pas à demander un poste à plus longue durée, pour éviter les suspicions et toujours en bon stratège, autant pour lui que pour les siens. Car oui, un petit élève était moins grave à se faire renvoyer de l'Université que des huppermages plus notables, assez rarement près du gouvernement pour pouvoir réellement travailler pour eux de leur plein gré -ce qui serait plus dangereux qu'autre chose-.
Cependant, tout comme ces huppermages préférant l'Université Immatérielle et ses instances à leur patrie, il semblerait que l'homme se rangeait de leur côté sans rien avouer de ses actions passés, sans rien admettre, pour finalement se rendre à la fin de son cycle à la nation de Bonta pour s'y faire naturaliser. Tout comme sa mère ayant échappé à Brâkmar pour vivre ses rêves de boufbawl, le nouvellement nommé Carta Mensis s'échappait pour vivre un semblant de rêve de liberté et pouvoir travailler un peu à son propre compte, pour satisfaire sa curiosité maladive.
Une ironie ironique[]
Malgré qu'il ait visiblement abandonné d'espionner pour le compte de Sufokia, il est important de souligner que l'homme n'a jamais réussi à se défaire de ces habitudes et plus précisément, qu'il est presque certain que quelques uns de ses professeurs ait vu le poteau rose. L'un des suspects dans la découverte de la vraie nature de Carta Mensis n'est nul autre que le professeur Grobid-Kwaan Kelnoobi. Cet huppermage, un peu particulier dans la masse, était partisan d'une politique extérieure davantage ouverte, voulant renouer des liens avec le peuple des Douze, contrairement à certains de ses collègues, dans l'optique d'un échange de savoirs.
Ayant participé à la reconstruction de l’École et faisant partie de la deuxième vague d'enseignement de l'Université Bontarienne Immatérielle, l'homme n'était pas le balourd qu'il laissait parfois croire, ni un vieillard sans talent. Modèle dans le domaine de la scientomagie, il est celui qui a poussé Carta Mensis a embrassé une carrière davantage diplomatique, s'assurant ainsi de missions pour les instances de l'île de Rok. Le titre était particulièrement bien choisi : celui d'émissaire. Ce mot, pour être précis, désigne quelqu'un chargé d'une mission à l'extérieur, au dehors de la "juridiction" normale d'une entité mais étymologiquement, l'émissaire est un agent, un espion et même un éclaireur.
En ce sens, l'île de Rok est parfois désignée, pour parler de Carta Mensis qui est administrativement bontarien (vous aurez remarqué que l'on joue beaucoup avec l'Administration avec lui et sa famille), comme la "main" manquante de l'huppermage. Façon de dire que l'homme ne pourra en quelque sorte jamais échappé à l'Université et au peuple anciennement persécuté, vivant à présent sur l'antique main d'un géant de pierre flottant au-dessus des flots, tout comme l'huppermage qui a comme habitude de flotter perpétuellement au-dessus du sol pour se déplacer. Une métaphore à lui tout seul de cette petite histoire, bien souvent oublié donc...
Tout comme son membre manquant lui rappelait l'Université de par cette allégorie, le fils Porten était également un fervent admirateur d'astrologie -d'où son intérêt pour des races aussi nébuleuses pour des gens comme lui comme les Méchasmes ou les Eliotropes- d'où une seconde comparaison, cette fois basée sur sa passion : remarquant que le ciel semblait partout pareil, le regard de l'Université se posait aussi bien sur son île que sur les autres nations. Peut-être là une raison de son amour pour les espaces dégagés et aux grands airs! Raison de plus d'apprécier Bonta, dont Carta apprécie l'histoire des anciens rois, particulièrement Léorictus qu'il considérait comme protecteur des huppermages dans la Cité de Lumière, sa mort ayant provoqué selon lui cet exil jusqu'à l'île flottante.
L'Organisation Cicada[]
Comment est-ce que le professeur Kelnoobi a-t-il pu découvrir l'identité de Carta Mensis? L'une des hypothèses, pour ceux dans la confidence, serait une sorte de "petit jeu" destiné à trouver des gens aptes à intégrer l'Organisation Cicada, de par leur logique ou leur débrouillardise, avec bien entendu un amour pour la discrétion et une soif de savoir.
Nécessitant une bonne connaissance en décryptage et la fameuse logique permettant de comprendre des nouvelles technologies, chose assez normale pour des scientomages, le but avoué à ceux sur la bonne piste est de recruter des gens "très intelligents". Le recrutement se faisait via un petit jeu durant un mois complet, à travers tout le monde des Douze, et naturellement sans prévenir, était là pour prendre l'individu à nu, sans préparation trop poussée.
Dur de dire si l'Organisation travaillait pour Bonta, Brâkmar, ou une autre nation mais l'amour de l'occulte et du mystère, cherchant les secrets potentiellement protégés par les gouvernements, inutile de dire que les membres sont des curieux comme dit plus haut! Groupe de réflexion avant tout, laboratoire d'idées principalement basé sur la politique publique et l'économie, on pourrait y voir une certaine forme de communisme, tout en, naturellement, cherchant à combattre les abus de position dominante, ou bien des situations de monopole laissant penser que quelques magnats de certains domaines économiques auraient pu se réunir pour éviter la montée en puissance d'autres qui auraient pu les avaler avec le temps. Donc empêcher un monopole... ? Peut-être pas. Juste en préparer un autre qui serait plus facilement contrôlé par une élite que serait l'Organisation Cicada.
Cependant, laboratoire d'idée, il était plus probable qu'il s'agisse d'une organisation nihiliste dans le sens où la paranoïa était présente, mettant en avant toujours cette même curiosité en mettant en doutes les autorités, les testant parfois de manière toujours aussi discrète. "Un coup de vent dans les ailes du progrès".
Guilde - Les boucliers de la Plèbe[]
Guilde de petite importante, il s'agit en faites à la base du duo que Carta formait avec son ami, le disciple de Féca Ikta Sirloc, fondateur de la dite-guilde. Souvent à deux dans leurs aventures, quelques fois dans l'embarras, l'idée de sacrifice serait ce qui a donné naissance aux Boucliers selon l'huppermage, afin d'aider les aventuriers courageux mais dans l'embarras devant un obstacle apparemment insurmontable. Le plus bel exemple est, toujours selon Carta Mensis, une discipline bien connue, le Boufbowl où les deux auraient violemment galéré à devoir soutenir toute leur équipe composée de gens un peu "fragiles", forçant les deux associés à charger têtes baissées et à prendre les coups pour pousser l'équipe dans les cages -et les adversaires avec, bien entendu!-.
Si le Féca était le fondateur, le premier de la guilde, l'huppermage était le second et à ce titre, portait le titre d'Ecu Tangle, à la différence de l'autre qui était l’Écu Latéral. A la place de laisser son "boss" parler à sa place, le bâtard préférait comme à son habitude sa petite explication qui était juste un mauvais jeu de mot avec les triangles acutangles, caractérisant un triangle avec trois angles aiguës. Donc les triangles équilatéraux, comme Ikta, exactement!
Mais ce titre laisse aussi penser quelque chose de moins sympathique. Un chaos, un imbroglio ou alors le nom donné à une pièce de théâtre à la situation très compliquée. A coter, comme un verbe, le sens peut varier, allant de s’emmêler à compliquer, en passant par chercher la bagarre. Une bonne référence à l'histoire de Carta Mensis et à ses origines Sacrieurs peut-être moins évidentes que celles paternelles car comme dirait ce dernier, et comme le diraient beaucoup d'Osamodas, l'huppermage pouvait être doux comme un tofu ou n'hésitait pas à faire "crier la larve" avec les gens lui cherchant des broutilles ou pour faire le lien avec sa mère, pouvait avoir les "artères qui se touchent" une fois trop blessé, dans ses périodes berserkers. Inutile de dire que lorsque l'huppermage respectait l'enseignement maternel "en faisant des gros bleus", la situation pouvait vite partir en vrille pour les non habitués.
Chapitre bonus - La maladie gélatine[]
Carta Mensis était auparavant un disciple de Sacrieur assez appliqué à l'étude des préceptes de sa déesse. Bien qu'un corps maigre comme le sien permettait d'être plus facilement blessé, et les Sacrieurs n'étant généralement pas très épais, le futur huppermage était partie de ce petit groupe. on peut presque dire qu'il s'approchait de la centaine de kilogrammes (104kg lors de ce qu'il nomme lui-même "son âge d'or").
Curieux, et même un peu trop, l'homme touche à tout s'intéressait à ce que certains nommaient autres dimensions. Et après quelques balades dans des mondes alors inconnus pour lui, sa folie trouva sa fin dans une dimension particulière, la Gelaxième dimension. Après des études sur les enfants disparus par le passé, l'homme trouvait ainsi une mystérieuse recette qu'il se contentait d'expérimenter sur d'autres pour ne pas risquer sa propre vie, malgré son amour pour la douleur, jusqu'à faire disparaitre un de ses "collègues" et de peur de le voir dévoiler ses plans au sein de l'Université qu'il avait déjà intégré à l'époque, Carta décidait de le suivre pour atterrir dans un monde affreux, coloré et sucré. Vous l'aurez compris, la fameuse Gelaxième dimension.
Selon les notes de présence, les rapports administratifs, l'homme aurait disparu deux semaines pour finalement revenir affaibli par un régime particulier à la dimension et bien entendu, seul. À noter que l'huppermage se mit à détester les sucreries par la suite tout en montrant une personnalité beaucoup plus paresseuse. Avec une perte de poids surprenante, le studieux se plongeait dans les bouquins pour cette fois chercher des remèdes à son nouveau problème, s'entrainant physiquement juste pour la beauté de garder ses réflexes, sans réussir à récupérer ses muscles.
Cette maladie ou ce dégout, à vous de voir, était aussi source d'une grande honte pour l'huppermage. Son père lui avait appris les préceptes du dieu Osamodas, dont l'un que l'homme ne pouvait plus suivre suite à cette aventure, le cinquième pour être plus précieux : "Tu prendras ton petit déjeuner avec deux susucres". Commandement que Carta Mensis honorait bien volontiers étant jeune, prenant souvent un deuxième petit déjeuner, voir un troisième...
Tu m'étonnes qu'il soit tombé malade.
Études connues[]
S'il était décrit comme touche-à-tout, il possédait à Bonta légalement ces licences avec parfois des spécialisations et attention parce qu'elles sont nombreuses et laissaient penser que notre cher Carta Mensis était un peu plus vieux qu'il ne le laissait paraitre :
- Astronomie
- Botanique
- Chimie (Pharmacologie)
- Ébénisterie
- Histoire du Monde des Douze (Historiographie, archiviste, sigillographie, épigraphie, diplomatique, chronologique -vous ne rêvez pas-, vexillologie)
- Philosophie politique ("Sciences politiques" pour simplifier)
- Psychologie (Légale et du conseil)
- Sciences humaines et sociales (Économie)
- Sciences occultes/Scientomagie (Magie et alchimie)
- Sylviculture
- Théologie naturelle
Autres informations diverses[]
- Le nom complet de Carta Mensis est Aperivel "Fatum" Porten, Fatum étant surtout un surnom donné par sa mère à cause du caractère rondouillet de l'huppermage lorsqu'il était tout petit et sonnant Sacrieur selon elle.
- L'huppermage est né, pour être plus précis, le 12 Aperirel à Sufokia, sur la Voie de la Poudre.