
Représentation des Zobals, depuis Wakfu MMORPG
Background[]
Les Masques.[]
Au tout commencement, Sadida décide de créer dix poupées qui séduiront les dragons primordiaux, et récupérer leurs Dofus pondus. Seulement six réussiront à la tâche, et parmi celles qui ont échoué, Lacrima, la neuvième poupée. Cette dernière, dévastée par son échec, est rassurée par son créateur, qui lui donnera le don de fécondité, avec lequel elle pourra porter son futur enfant.
Jusqu'au jour où le dieu Iop, bien ivre, s'aventure dans le jardin secret du dieu des arbres, et pose son regard sur Lacrima. Un seul désir lui vient en tête, qu'il veut absolument assouvir: La féconder. Il transgresse alors l'un des interdits divins: Ne pas se reproduire entre deux dieux. Sadida, déçu par ce qui vient de se dérouler, rejette sa poupée qui est d'autant plus traumatisée par le viol.
De cette mésaventure naît une créature entièrement divine, capable de chambouler l'équilibre du monde des Douze, et qui sera appelé plus tard le Cornu Mollu. Sadida décide d'emprisonner l'âme du nouveau-né dans neuf masques primordiaux magiques, qui représenteront chaque facette de sa personnalité: Classe, Pleutre, Psychopathe, Envie, Luxure, Paresse, Anatomie, Colère et Peur. Ces derniers seront confiés à une boule de poils tirée de la barbe de Sadida, le Yech'Ti, réfugié dans les montagnes des Craqueleurs.
La genèse du clan.[]
L’histoire des Zobals commence dans Krapahupat, ou ce qu’on appelle actuellement la cité des Roublards. Pendant l’ère des Dofus, cette ville était spécialisée dans la conceptions d’armes diverses, et organisait un grand concours annuel pour designer la meilleure arme. Alors que certains maîtres d’armes étaient reconnus grâce à ce concours, d’autres étaient humiliés pour leur incompétence, dont un en particulier, Karail (ou Karaï, dépendant des supports). Ce dernier promet qu’un jour, il concevras la meilleure arme de tous les temps, et décide alors de s’isoler dans les montagnes avec sa famille, se consacrant entièrement à son art. Jusqu’au jour où il pérît dans son atelier et enterré dans l’humiliation.
Ses trois fils, Sogo, Dalou et Razad, veulent rendre honneur aux travaux inachevés de leur père, et œuvrent à compléter son arme. S’introduisant pour la première fois dans l’atelier de leur père, ils découvrent les notes de ses recherches et une multitude de masques accrochés sur les murs. Ils se départagent alors les tâches: Sogo analyse les textes laissés par son père, Dalou s’occupe des masques, et Razad, le plus jeune, va apporter le nécessaire à Krapahupat, essuyant par la même occasion les railleries persistantes au sujet de son paternel. La trace qui reste de ses recherches semble insuffisante pour accomplir quoi que ce soit, et les garçons décident de profaner la sépulture de leur père, pour récupérer l’amulette de Sadida, enterrée avec lui.
Ce nouvel élément en main, les fils de Karail prennent la route vers les montagnes, où un lieu marqué d’un croix figure dans une carte dessinée par leur père. À force de tenir tête au froid glacial des montagnes, Sogo et Dalou trahissent leur cadet en pleine route, l’abandonnant dans la neige. Le jeune Razad prend alors la route seule, mais ne manque de tomber d’une falaise, mais survit, malgré tous ses os brisés, et comme le malheur refuse de cesser, il est traîné par le Yech’Ti, Morld Anozer, en personne dans sa grotte, dans laquelle ses deux frères sont emprisonnés et dévorés par l’abominable créature des neiges devant ses yeux.
Pris de rage, Razad défie le Yech’Ti dans un combat intellectuel. Les deux se mettent alors d’accord sur un marché : Razad misera sur sa vie, et Morld sur l’un des neufs masques primordiaux, dont il est le gardien. Leur combat intellectuel prendra la forme d’une partie d’Arena, que le Yech’Ti maîtrise à la perfection, alors que Razad panique en face des règles qui lui semblent toujours compliquées après deux semaines. Le jour avant leur partie, ce dernier vole huit masques et s’enfuit de la grotte, trouvant refuge dans un village caché dans les montagnes, dans lequel il mettra enfin en pratique les travaux de son père grâce aux masques et à l’amulette de Sadida, fondant par la même occasion le clan Zobal.
La situation du clan zobal dans Wakfu.[]
Conscient que le chaos d'Ogrest pourrait signer le retour de Cornu Mollu si les masques venaient à être réunis, tout comme le sentiment de Sadida envers ce même clan, ce dernier décide, dès le début du chaos, de former une coque en ronces immense. Ainsi, il isole le clan zobal, mais lui permet de ne subir aucun dommage. Le temps passe, et peu à peu, la coque se détériore. En 970, les zobals peuvent enfin sortir du clan devenu désormais une île depuis le chaos, et partir à la découverte du monde.
Sachant que Sadida a protégé l'intégralité du clan, il est intéressant d'indiquer que l'île se situait à la base dans la montagne des Craqueleurs. La faune survivante présente quelques similarités avec le monde des Douze (Bwak/Kwak, craqueleurs et craqueleurs des plaines, porcs/cochons, bworks et karnes), même si un chacha est tout à fait inconnu pour eux. La méfiance et isolement déjà présent s'est renforcé pour eux, bien que tout ceux partant soient de grands curieux, voir un autre monde. Entre temps, le clan n'a pas changé et semble intemporel. Les maisons sont toujours en forme de masques, la culture est la même. Seulement, la reconnaissance envers Sadida s'est peu à peu perdue, au point où certains zobals, comme Maskemane, ne savent même plus pour qui prier. Le respect dominant est envers les masques primordiaux.
Relations entre zobals et roublards.[]
Malgré les préjugés, les zobals et roublards ne se haïssent pas encore dans Wakfu. Dans Dofus, ces derniers convoitent les masques comme tout artéfact magique qui se respecte. Dans Wakfu, les zobals arrivant ne savent plus réellement ce que sont des roublards. Le seul individu à avoir trouvé l'île zobal sera Kouto Smisse, qui marchandera un masque avec ces derniers, qui ne le rejetteront pas. Malheureusement, n'ayant pas l'intention de payer, il réduit le village à l'état de cendres afin de voler les masques primordiaux, sauf trois, ne laissant aucun survivant, sous les yeux de Maskemane. De là, naitra la haine de Maskemane envers les roublards, qu'il transmettra lors de la création de clan zobal à nouveau. Ces évènements, seulement, se déroulent après les évènements IG et IRP de Wakfu.
Culture et mentalité.[]
Les zobals ont une culture qui pourrait sembler similaire aux sadidas, mais est en réalité bien différente.
Les valeurs essentielles de la culture s'accentuent autour de l'honneur, et de l'entraide envers leurs congénères. La famille comme leurs amis sont importants à leurs yeux, qu'ils ne laisseront pas tomber.
Les vêtements, maisons, et mêmes meubles ont tous un rapport avec les masques. Les couleurs dominantes du clan sont le rouge et le blanc.
Les zobals ne sont pas des personnes violentes. La paix semble être reine du clan, et le seul masque suspectible d'être responsable d'une violence est gardé dans un souterrain à l'abri des regards.
Les zobals vouent un respect immense aux masques. De nombreuses légendes les parcourent, à la fois source d'émerveillement et d'exemple.
Les zobals ne sont pas schizophrènes : Bien que certains masques peuvent influencer le comportement, un zobal a son caractère propre.
Le port du masque n'est pas obligatoire au sein du clan. Nombreux sont les zobals, enfants comme adultes à vivre sans en avoir sur leurs visages. Cependant, au sein du monde des Douze, c'est une toute autre histoire.
Le premier masque magique est donné lors du rite d'initiation, à douze ans. En attendant, le zobal porte un masque en bois basique, qu'il gardera tout au long de sa vie. La seule exception est Maskemane.
L'art martial zobal s'inspire de la capoeira, et se repose beaucoup sur les pieds, combinant les acrobaties et mouvements utiles. Les armes peuvent accompagner.
Les masques sont très importants pour un zobal, et comptent autant, voir plus, que sa propre vie. Il y voue une grande responsabilité.
Caractéristiques des masques primordiaux.[]
Classe : C’est le masque de combat de base et celui qui est porté le plus souvent. Il donne une certaine confiance à son porteur, jusqu’à l’arrogance, et lui octroie une certaine souplesse.
Pleutre : Lorsque le combat semble perdu d’avance, ce masque est l’idéal, permettant à son porteur de fuir tout danger, jusqu’à le maintenir en vie s’il est gravement blessé. Des aiguilles peuvent être crachées de la « bouche » du masque comme moyen de défense.
Psychopathe : Influant sur le caractère du zobal, le rendant plus nerveux et sûr de lui, il lui permet de contrôler les cornes du masque, qui sont en réalité des épées, dagues et fouets. Les fouets sont magiques et peuvent s'enflammer, se rétracter et se diriger vers les ennemis, tout comme s'allonger à de grandes distances et tracter le zobal. Lorsqu'il retire les cornes, de la fumée s'échappe des trous du masque : Il est intéressant de noter que les yeux sont visibles au début, puis deviennent impossible à voir, et que dans sa version primordiale, le noir laisse voir des yeux rouges de fureur.
Colère : Ce masque porte exactement son nom. Accentuant la colère et fureur du zobal qui le porte, il multiplie ses forces par dix, le rendant bien plus difficile à affronter ou maitriser. Il est dit qu'un zobal gringalet a pu ainsi devenir un lutteur invaincu, et battre son frère avec une petite cuillère. Dans sa version primordiale, il rend suffisament furieux pour devenir hors de contrôle.
Paresse : Ce masque, une fois porté, a deux effets. Il accentue la paresse du porteur, tout en le dédouanant des conséquences. La paresse sera le résultat du masque pour les autres, qui auront étrangement du mal à lui en vouloir, et le laisseront paresseux.
Anatomie : Bobo ? Jambe cassée ? Frôlant la mort ? Et il n’y a pas d’eniripsa dans le coin ? Pas de problème, ce masque soigne tout !
Peur : Parfait pour une mauvaise blague d’Halouine, le porteur de ce masque glacera le sang de tout être vivant à sa portée, même le terrible Yech’Ti.
Luxure : Ce masque est sans doute l'un des plus étranges. Une fois porté, peu importe celui qui se cache derrière, il devient aussi irrésistible qu'un pot de noisetella pour une personne après plusieurs mois de diète. Malheureusement, il s'agit dans le sens adulte du terme. Nous pouvons le voir être porté dans le manga Dofus.
Envie : Si vous voulez attirer l’attention de tout le monde, ce masque est fait pour vous ! Une fois porté, tout le monde sera charmé par votre personne, et voudront vous ressembler, ou devenir votre ami, au choix.